conseil pour acheter un ultrabook
1. Mobile et polyvalent
L’Ultrabook est la nouvelle coqueluche de l’univers High-Tech. Fin, rapide, performant et autonome, il se fait l’écho des besoins des consommateurs. En se lançant dans ce projet, son instigateur, Intel, souhaitait qu’il rassemble la mobilité d’une tablette et la polyvalence d’un PC.
Après les smartphones, netbook et tablettes, de nombreux constructeurs se sont engouffrés dans cette nouvelle brèche. Seul inconvénient, pour obtenir le label « Ultrabook », les PC concernés doivent respecter cinq prérogatives d’Intel : finesse, démarrage rapide, autonomie, sécurité et prix agressif.
Cannibalisé par le succès des tablettes, l’ordinateur portable avait besoin de se refaire une beauté. L’Ultrabook s’en charge. S’il provoque un sentiment de désir, il faut encore définir son choix dans l’offre grandissante : plus de 30 modèles sont lancés cet été 2012.
Quelles sont leurs différences ? Quels sont les meilleurs Ultrabooks ? Comment choisir l’appareil idéal ? Voici le guide pour choisir un Ultrabook à travers les modèles disponibles ou à venir.
Après les smartphones, netbook et tablettes, de nombreux constructeurs se sont engouffrés dans cette nouvelle brèche. Seul inconvénient, pour obtenir le label « Ultrabook », les PC concernés doivent respecter cinq prérogatives d’Intel : finesse, démarrage rapide, autonomie, sécurité et prix agressif.
Cannibalisé par le succès des tablettes, l’ordinateur portable avait besoin de se refaire une beauté. L’Ultrabook s’en charge. S’il provoque un sentiment de désir, il faut encore définir son choix dans l’offre grandissante : plus de 30 modèles sont lancés cet été 2012.
Quelles sont leurs différences ? Quels sont les meilleurs Ultrabooks ? Comment choisir l’appareil idéal ? Voici le guide pour choisir un Ultrabook à travers les modèles disponibles ou à venir.
2. La fiche technique ne fait plus loi
Que l’on regarde la fiche technique d’un Ultrabook ou d’un autre, le constat est le même. La différence entre les configurations n’est pas flagrante.
Certes, étant donné qu’Intel est à l’origine du projet, on découvre sans surprise que tous les Ultrabooks sont basés sur des processeurs Core i3, Core i5 ou Core i7. En entrée de gamme, on trouvera par exemple l’Acer Aspire Timeline Ultra M3 d’Acer avec un processeur Core i3 cadencé à 1,4 GHz pour 500 euros. Tout en haut du tableau, c’est la version ultime de l’Aspire S5 qui décrochent la palme. Il utilise la nouvelle plateforme Ivy Bridge avec un processeur Core i7 double coeur cadencé à 1,9 GHz couplé à 4 Go de RAM et un SSD de 256 Go. Tout ce joli monde rassemblé dans un même châssis fait monter la note à 1500 euros. On est loin de la barre des 1000 euros.
S’il joue sur le prix, le processeur n’est pas le seul élément onéreux d’un Ultrabook. Néanmoins, il est bon de préciser que les Core i3, i5 ou i7 sont de bons processeurs qui ne souffrent pas de la concurrence. Dans les benchmarks de Tom’s Hardware, ils s'accaparent d’ailleurs le podium. Si votre budget n’est pas limité, faites-vous plaisir, mais sachez que dans un usage classique comprenant du surf, de la bureautique et des applications multimédias, un Core i3 cadencé à 1,4 Ghz suffit tout à fait.
Certes, étant donné qu’Intel est à l’origine du projet, on découvre sans surprise que tous les Ultrabooks sont basés sur des processeurs Core i3, Core i5 ou Core i7. En entrée de gamme, on trouvera par exemple l’Acer Aspire Timeline Ultra M3 d’Acer avec un processeur Core i3 cadencé à 1,4 GHz pour 500 euros. Tout en haut du tableau, c’est la version ultime de l’Aspire S5 qui décrochent la palme. Il utilise la nouvelle plateforme Ivy Bridge avec un processeur Core i7 double coeur cadencé à 1,9 GHz couplé à 4 Go de RAM et un SSD de 256 Go. Tout ce joli monde rassemblé dans un même châssis fait monter la note à 1500 euros. On est loin de la barre des 1000 euros.
S’il joue sur le prix, le processeur n’est pas le seul élément onéreux d’un Ultrabook. Néanmoins, il est bon de préciser que les Core i3, i5 ou i7 sont de bons processeurs qui ne souffrent pas de la concurrence. Dans les benchmarks de Tom’s Hardware, ils s'accaparent d’ailleurs le podium. Si votre budget n’est pas limité, faites-vous plaisir, mais sachez que dans un usage classique comprenant du surf, de la bureautique et des applications multimédias, un Core i3 cadencé à 1,4 Ghz suffit tout à fait.
Ivy Bridge mais encore Sandy Bridge
Intel Ivy BridgeLe marché de l’ordinateur portable est en pleine mutation. Jusqu’à il y a quelques semaines, la plateforme Sandy Bridge d’Intel était la plus plébiscitée avec les Core i3, i5 et I7 cités ci-dessus. Fin avril 2012, le fondeur américain a lancé sa nouvelle architectureIvy Bridge . Depuis qu’elle est disponible, les constructeurs annoncent que leurs prochains modèles d’Ultrabooks l’utiliseront.
Pour l’instant, seuls quelques appareils disponibles en sont équipés. On peut citer en exemple le très onéreux Aspire S5d’Acer ou le nouvel Inspiron 14z de Dell. D’un autre côté, les constructeurs mettent également à jour leur matériels afin de pouvoir les exploiter à moindre coût en leur donnant une seconde jeunesse. C’est le cas d’Acer et de son Aspire S3. Premier Ultrabook sorti en 2011, il passe en Ivy Bridge tout en conservant un prix contenu en dessous des 1000 euros. D’autres marques préfèrent attendre de liquider leurs stocks avant de se lancer dans des modifications de configuration. C’est le cas de Dell. D’après eux, l’excellent XPS 13 ne passera pas en Ivy Bridge avant quelques mois. Néanmoins, au Computex, début juin, Intel a annoncé que d’ici juillet une trentaine d’Ultrabooks sous Ivy Bridge seraient disponibles dans le monde.
Mais cette nouvelle plateforme mérite-t-elle l’attention du consommateur ? D'après les tests des processeurs Ivy Bridge, il existe bien un gain de performance. Celui-ci n’est pas transcendant puisqu’il oscille entre 3 et 8 % pour la puissance brute du processeur. À côté de cela, la précision de gravure en 22 nm (nanomètres) permet une consommation réduite, de quoi donner un coup de fouet à l’autonomie. Sans retourner le marché, Ivy Bridge s’avère être intéressant, surtout lorsque l’on sait qu’il ne devrait pas influencer à la hausse les prix des Ultrabooks qu’il équipera. À côté de cela, les Ultrabooks sousSandy Bridge sont de bonnes machines. Performantes, elles voient d’ailleurs leurs prix baisser suite à l’arrivée de la nouvelle plateforme d’Intel.
Élément indissociable du processeur, la mémoire vive. Dans les Ultrabooks, elle a l’avantage de ne pas être un élément à regarder. Pour l'instant, la tendance veut que les Ultrabooks soient équipés de 4 Go pour la majeure partie. Il existe cependant quelques exceptions. De disponible, le Série 5 de Samsung est le seul à proposer 6 Go de RAM en natif. Deux modèles embarquant 16 Go de mémoire vive sont prévus. Ils sortiront des usines de HP. Les ElitePro et EliteBook sont deux modèles professionnels qui miseront sur une performance exceptionnelle, une finesse aboutie et un prix mesuré. En somme, des portables à suivre de près.
Mais cette nouvelle plateforme mérite-t-elle l’attention du consommateur ? D'après les tests des processeurs Ivy Bridge, il existe bien un gain de performance. Celui-ci n’est pas transcendant puisqu’il oscille entre 3 et 8 % pour la puissance brute du processeur. À côté de cela, la précision de gravure en 22 nm (nanomètres) permet une consommation réduite, de quoi donner un coup de fouet à l’autonomie. Sans retourner le marché, Ivy Bridge s’avère être intéressant, surtout lorsque l’on sait qu’il ne devrait pas influencer à la hausse les prix des Ultrabooks qu’il équipera. À côté de cela, les Ultrabooks sousSandy Bridge sont de bonnes machines. Performantes, elles voient d’ailleurs leurs prix baisser suite à l’arrivée de la nouvelle plateforme d’Intel.
Élément indissociable du processeur, la mémoire vive. Dans les Ultrabooks, elle a l’avantage de ne pas être un élément à regarder. Pour l'instant, la tendance veut que les Ultrabooks soient équipés de 4 Go pour la majeure partie. Il existe cependant quelques exceptions. De disponible, le Série 5 de Samsung est le seul à proposer 6 Go de RAM en natif. Deux modèles embarquant 16 Go de mémoire vive sont prévus. Ils sortiront des usines de HP. Les ElitePro et EliteBook sont deux modèles professionnels qui miseront sur une performance exceptionnelle, une finesse aboutie et un prix mesuré. En somme, des portables à suivre de près.
3. Quel ultrabook pour jouer ?
Un Ultrabook doit avoir la mobilité d’une tablette, selon Intel. En ce sens, les constructeurs ont opté pour des petites diagonales d’écran.
Si le gros des troupes se situe actuellement entre 11,6, 13,3 et 14 pouces, quelques Ultrabooks à venir ouvrent le marché à des tailles plus confortables. Le Timeline Ultra M3 d’Acer ou encore le Envy 6t de HP (indisponible en France) sont ainsi des Ultrabooks de 15,6 pouces. Et la course ne devrait pas s’arrêter là, de plus en plus de consommateurs étant en demande de machines encore plus grandes de 17 ou 18 pouces. Bien entendu, quelle que soit la diagonale utilisée, les PC doivent toujours se plier à des finesses dictées par Intel.
La définition fait aussi partie des points différenciants. Si les constructeurs privilégient encore le 1366 x 768 pixels afin de limiter les coûts, de plus en plus de marques suivent l’exemple du Zenbook UX31Ed’Asus, premier Ultrabook à afficher en 1600 x 900 pixels. Ce surplus d’affichage est bien pratique pour surfer, permettant de voir à l’écran une plus grande partie de la page Internet, par exemple. D’autres encore poussent jusqu’au Full HD avec du 1920 x 1080 pixels, et ce, même sur des dalles de 11,6 pouces, comme le S7 d’Acer ou le Zenbook Prime UX21A d’Asus. Unique ovni du genre, le Satellite U840W de Toshiba adopte pour sa part une définition 21:9 de 1792 x 768 pixels.
Si le gros des troupes se situe actuellement entre 11,6, 13,3 et 14 pouces, quelques Ultrabooks à venir ouvrent le marché à des tailles plus confortables. Le Timeline Ultra M3 d’Acer ou encore le Envy 6t de HP (indisponible en France) sont ainsi des Ultrabooks de 15,6 pouces. Et la course ne devrait pas s’arrêter là, de plus en plus de consommateurs étant en demande de machines encore plus grandes de 17 ou 18 pouces. Bien entendu, quelle que soit la diagonale utilisée, les PC doivent toujours se plier à des finesses dictées par Intel.
La définition fait aussi partie des points différenciants. Si les constructeurs privilégient encore le 1366 x 768 pixels afin de limiter les coûts, de plus en plus de marques suivent l’exemple du Zenbook UX31Ed’Asus, premier Ultrabook à afficher en 1600 x 900 pixels. Ce surplus d’affichage est bien pratique pour surfer, permettant de voir à l’écran une plus grande partie de la page Internet, par exemple. D’autres encore poussent jusqu’au Full HD avec du 1920 x 1080 pixels, et ce, même sur des dalles de 11,6 pouces, comme le S7 d’Acer ou le Zenbook Prime UX21A d’Asus. Unique ovni du genre, le Satellite U840W de Toshiba adopte pour sa part une définition 21:9 de 1792 x 768 pixels.
GMA et cartes dédiées
Torchlight sur Zenbook UX31EFin 2011, les premiers Ultrabooks n’étaient pas conçus dans l’optique de devenir des machines de jeu. Comme nous avions pu le constater lors de nos tests des Aspire S3 et Zenbook UX31E, les performances de la HD3000, la carte graphique intégrée au processeur d’Intel restait suffisante pour jouer à quelques titres un peu anciens. Bien entendu, il était inutile d’installer Skyrim ou Battlefield 3…
En six mois, le marché a considérablement évolué avec l’arrivée d’Ivy Bridge, et de solutions Nvidia satisfaisantes.
Nouveau processeur, et nouvelle puce graphique. La HD 3000 cède sa place à la HD4000. Intel annonçait un gain de 50% sur les performances graphiques. Selon les tests effectués par NoteBookCheck.net, il est plutôt de l’ordre de 35% en moyenne sur les différentes versions dubenchmark 3DMark. D’après les tests de PCWorld, les performances graphiques seraient plus accrues selon les jeux utilisés. C’est néanmoins une amélioration agréable qui rend encore plus polyvalent l’Ultrabook. A noter que même avec ses meilleurs résultats, le HD 4000 n’est pas à la hauteur de son homologue AMD contenu dans l’APU Trinity. Cette puce graphique, qui mettait déjà à plat la HD 3000, continue son travail de sape avec la nouvelle génération de GMA Intel, comme nous le montrent les tests d’AnandTech.com. Pour relever le niveau, Nvidia est passé par là.
C’était une des bonnes surprises de 2012 pour les joueurs. Nvidia s’est investi dans les Ultrabooks avec une carte de dernière génération, la GeForce GT 640M. Elle est 50% plus performante que le chipset intégré d’Intel (HD 4000). De plus grâce à la technologie Optimus de Nvidia, elle prend le relai automatiquement sur la HD 4000 dès qu’une opération graphique lourde est requise.
Le premier ordinateur de cette catégorie à en avoir profité, c’est le Timeline Ultra M3 d’Acer. Non content de s’offrir les services d’une carte dédiée, il réussit même à conserver un prix ultra bas de 700 euros tout en intégrant un processeur Ivy Bridge. Une belle prouesse.
En six mois, le marché a considérablement évolué avec l’arrivée d’Ivy Bridge, et de solutions Nvidia satisfaisantes.
Nouveau processeur, et nouvelle puce graphique. La HD 3000 cède sa place à la HD4000. Intel annonçait un gain de 50% sur les performances graphiques. Selon les tests effectués par NoteBookCheck.net, il est plutôt de l’ordre de 35% en moyenne sur les différentes versions dubenchmark 3DMark. D’après les tests de PCWorld, les performances graphiques seraient plus accrues selon les jeux utilisés. C’est néanmoins une amélioration agréable qui rend encore plus polyvalent l’Ultrabook. A noter que même avec ses meilleurs résultats, le HD 4000 n’est pas à la hauteur de son homologue AMD contenu dans l’APU Trinity. Cette puce graphique, qui mettait déjà à plat la HD 3000, continue son travail de sape avec la nouvelle génération de GMA Intel, comme nous le montrent les tests d’AnandTech.com. Pour relever le niveau, Nvidia est passé par là.
C’était une des bonnes surprises de 2012 pour les joueurs. Nvidia s’est investi dans les Ultrabooks avec une carte de dernière génération, la GeForce GT 640M. Elle est 50% plus performante que le chipset intégré d’Intel (HD 4000). De plus grâce à la technologie Optimus de Nvidia, elle prend le relai automatiquement sur la HD 4000 dès qu’une opération graphique lourde est requise.
Le premier ordinateur de cette catégorie à en avoir profité, c’est le Timeline Ultra M3 d’Acer. Non content de s’offrir les services d’une carte dédiée, il réussit même à conserver un prix ultra bas de 700 euros tout en intégrant un processeur Ivy Bridge. Une belle prouesse.
4. L'Ultrabook le plus fin ? Le plus léger ?
MAJ du 4 juillet 2012 : l'Ultrabook le plus léger du monde a changé aujourd'hui. Il s'agit désormais du Nec LaVie Z avec un poids de 875 grammes. Ajoutons qu'il s'agit ici d'un Ultrabook de 13,3 pouces contrairement au précédent poids plume qui affichait une diagonale de 11,6 pouces (Gigabyte X11).
Comme vue précédemment, la configuration d’un Ultrabookn’est pas un point déterminant. Alors qu’il y a encore quelque temps, le choix d’un ordinateur était étroitement lié à ses performances, l’Ultrabook change la donne en proposant au consommateur d’acheter un modèle en considérant plus son design et le ressenti qu’il dégage plutôt que ses scores. Cela passe par l’épaisseur, le poids et son toucher.
Pour qu’il soit mobile, l’Ultrabook ne doit pas dépasser 21 mm d’épaisseur s’il affiche une diagonale de 14 pouces et supérieure alors que cette finesse est abaissée à 18 mm si son format est en dessous de 14 pouces.
Le plus fin de tous les Ultrabooks est l’Aspire S5 d’Acer avec 15 mm à son point le plus épais. À l’inverse, les plus épais seront les Ideapad U410 de Lenovo et le Samsung Ultra S5 avec 21 mm mesurés. Disposant chacun d’une carte graphique dédiée, cette caractéristique doit participer à les propulser au rang d’Ultrabooks les plus épais.
Comme vue précédemment, la configuration d’un Ultrabookn’est pas un point déterminant. Alors qu’il y a encore quelque temps, le choix d’un ordinateur était étroitement lié à ses performances, l’Ultrabook change la donne en proposant au consommateur d’acheter un modèle en considérant plus son design et le ressenti qu’il dégage plutôt que ses scores. Cela passe par l’épaisseur, le poids et son toucher.
Pour qu’il soit mobile, l’Ultrabook ne doit pas dépasser 21 mm d’épaisseur s’il affiche une diagonale de 14 pouces et supérieure alors que cette finesse est abaissée à 18 mm si son format est en dessous de 14 pouces.
Le plus fin de tous les Ultrabooks est l’Aspire S5 d’Acer avec 15 mm à son point le plus épais. À l’inverse, les plus épais seront les Ideapad U410 de Lenovo et le Samsung Ultra S5 avec 21 mm mesurés. Disposant chacun d’une carte graphique dédiée, cette caractéristique doit participer à les propulser au rang d’Ultrabooks les plus épais.
Une question de poids
Gigabyte X11En obligeant les constructeurs à limiter l’encombrement de leurs modèles d’Ultrabook, Intel était également certain de les obliger à réduire le poids des machines, les rendant ainsi beaucoup plus manipulables qu’un ordinateur portable classique. On observe ainsi sur le marché de l’Ultrabook que le plus léger est le Gigabyte X11 avec 975 grammes sur la balance. Avantagé par sa diagonale de 11,6 pouces, il n’est pas représentatif de la plus grande partie des Ultrabooks en 13,3 pouces. Dans cette catégorie, c’est le prochain Portégé Z930 de Toshiba qui remporte la palme avec 1,13 kg.
D’autres marques, comme Dell, tentent de « tricher » en intégrant leurs modèles 13,3 pouces dans des châssis de 12 pouces. C’est le cas de l’XPS 13. Malgré cette performance, il pèse tout de même 1,4 kg.
Directement liés au poids et à l’épaisseur, les matériaux utilisés dans la fabrication des coques ont leur importance. Fibre de carbone, aluminium, verre, on trouve de tout, sauf des plastiques de mauvaise qualité.
Heureusement, le netbook n’aura pas eu d’incidence sur la conception des Ultrabooks. Avec le PC selon Intel, on a droit à un design soigné, comme sur l'Acer Aspire S5 qui a la particularité de disposer d’une trappe motorisée enfermant sa connectique à l'arrière. Pour l'ouvrir, Acer a installé une touche "MagicFlip" sur le clavier.
De son côté, le Yoga de Lenovo possède un écran tactile orientable à 360°, le rapprochant ainsi de la tablette. D’autres ont privilégié la sobriété comme les Vaio T13 de Sony ou le Zenbook UX31A d’Asus, tous deux en aluminium (mélangé à du magnésium pour le T13). L’Envy Spectre 14 de HP s’est, quant à lui, habillé de verres Gorilla Glass rendant son design atypique.
HP Envy Spectre 14
D’autres marques, comme Dell, tentent de « tricher » en intégrant leurs modèles 13,3 pouces dans des châssis de 12 pouces. C’est le cas de l’XPS 13. Malgré cette performance, il pèse tout de même 1,4 kg.
Directement liés au poids et à l’épaisseur, les matériaux utilisés dans la fabrication des coques ont leur importance. Fibre de carbone, aluminium, verre, on trouve de tout, sauf des plastiques de mauvaise qualité.
Heureusement, le netbook n’aura pas eu d’incidence sur la conception des Ultrabooks. Avec le PC selon Intel, on a droit à un design soigné, comme sur l'Acer Aspire S5 qui a la particularité de disposer d’une trappe motorisée enfermant sa connectique à l'arrière. Pour l'ouvrir, Acer a installé une touche "MagicFlip" sur le clavier.
De son côté, le Yoga de Lenovo possède un écran tactile orientable à 360°, le rapprochant ainsi de la tablette. D’autres ont privilégié la sobriété comme les Vaio T13 de Sony ou le Zenbook UX31A d’Asus, tous deux en aluminium (mélangé à du magnésium pour le T13). L’Envy Spectre 14 de HP s’est, quant à lui, habillé de verres Gorilla Glass rendant son design atypique.
HP Envy Spectre 14
5. Quid de la connectique ?
Toshiba Portégé Z830En février 2008, la sortie du MacBook Air ne fut pas applaudie sur tous les points. Pour obtenir sa finesse légendaire, Appleavait dû sacrifier quelques éléments de sa connectique. Aussi, l’utilisateur devait alors se contenter d’un unique port USB, d’un Micro-DVI et d’une sortie audio. L’Ultrabook s’inspirant fortement du concept de Cupertino, on aurait pu craindre le pire. Il n’en est rien.
Tous les modèles d’Ultrabook disponibles ou à venir possèdent au moins deux ports USB dont un ou deux en USB 3.0. Dans le haut du tableau, on trouve Toshiba et son Portégé Z830 qui offre deux ports USB 2.0 et un USB 3.0 dans seulement 16 mm d’épaisseur.
Pour compléter la touche multimédia de leurs machines, les marques ajoutent soit du micro-HDMI ou un port HDMI. D’autres vont plus loin comme Asus qui inclut dans la boîte de son UX31E un dongle Ethernet et un dongle VGA.
Avec ou sans Thunderbolt
Enfin, à l’instar du dernier MacBook Air, la technologie Thunderbolt s’installe dans les Ultrabook. En l’occurrence, pour l’instant, seul Acer a annoncé l’intégrer dans son prochain Aspire S5. Selon leurs dires lors du CES 2012, Lenovo et Asus doivent suivre. Pour rappel, Thunderbolt est une technologie de transport de données et de courant au même titre que l’USB. Mise au point par Intel, elle est deux fois plus rapide que l’USB 3.0 et 20 fois plus que l’USB 2.0. Néanmoins, si elle est intéressante, cette connectique reste onéreuse, surtout en matière de périphériques compatibles. Pour les Ultrabooks à venir, ceux de troisième génération sous Ivy Bridge, Intel a fait évoluer ses spécifications. Ainsi, les constructeurs sont désormais obligés d’intégrer de l’USB 3.0 ou du Thunderbolt dans leurs Ultrabooks.
Connecteur Thunderbolt sur un MacBook
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